Capsule temporelle : retour en 2003
Temps de lecture : 4 minutesIl y a 20 ans, Célestin Ferland et Jean-Sébastien Parent se lançaient dans une grande aventure : fonder une entreprise ensemble. À l’époque, celle-ci ne s’appelait pas encore Classe Affaires, mais bien Scoci, pour « Solutions Corporatives Orientées Comptabilité et Immobilier ».
Tout comme le nom et le logo de Classe Affaires, les choses ont bien évolué en deux décennies ! Retournons en 2003 pour une petite immersion nostalgique.
La technologie entre vos mains
En 2003, le téléphone portable le plus populaire était le Samsung e700. Il se distinguait par la qualité de son appareil photo (voir la photo ci-dessous) et le fait qu’il n’avait pas d’antenne à l’extérieur de l’appareil. Une révolution pour l’époque ! De plus, il pouvait stocker jusqu’à 200 messages textes. Aujourd’hui, combien de temps vous faudrait-il pour atteindre ce maximum?
C’est en avril 2003 qu’Apple a commercialisé le IPod 3e génération. Parmi ses nouvelles caractéristiques, on mettait de l’avant son boîtier plus mince que celui des versions précédentes. Il fut aussi le premier à avoir un connecteur “30-pin dock”, qui fût remplacé en 2012 par le connecteur “Lightning” qu’on connaît aujourd’hui.
Les jeunes arpentaient les rues, IPod à la main, avec “In da club” de 50 Cent, “Crazy in love” de Beyoncé et Jay-Z et “Bring me to life” d’Evanescence comme trame musicale. C’était aussi les belles années de Marie-Chantal Toupin, La Chicane, Andrée Watters et des Cowboys Fringants.
L’effervescence informatique
En 2003, les ordinateurs de bureau (desktop) étaient la norme, même si les portables augmentaient en popularité. À l’Université, les notes de cours s’écrivaient encore à la main ! Vous vous êtes offert le dernier ordinateur à la mode ? S’il s’agissait d’un PC à la fine pointe de la technologie, c’était probablement un 64 bits avec le système d’exploitation Windows XP. Si vous étiez plutôt Mac, il s’agissait peut-être du PowerBook G4, le premier portable avec un écran 17 pouces. Apple vous proposait alors l’accès à Internet par l’intermédiaire de son nouveau navigateur, Safari.
Le géant Facebook n’existait pas encore (il sera fondé l’année suivante), mais vous pouviez néanmoins vous créer un profil du tonnerre sur la toute nouvelle plateforme MySpace. Pour une présentation plus professionnelle, il était possible d’opter pour le réseau LinkedIn, qui a aussi lui aussi pris son envol en 2003.
Des loisirs nouvelle génération
En 2003, le temps consacré aux activités en ligne était en croissance. Entre autres, jeu Second Life est lancé, tout comme la plateforme de blogue WordPress. Pour les plus intrépides, le désormais célèbre site The Pirate Bay a fait son apparition, facilitant le téléchargement de musique, films et logiciels piratés (en faisant le plein de virus au passage).
Cette année-là, si vous téléchargiez Le Seigneur des anneaux – Le Retour du roi, La Matrice rechargée, Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl ou Le Dernier Samouraï, vous pouviez vous attendre à une mauvaise surprise. Ces films étaient à l’affiche au cinéma, il y avait peu de chance que ce soit vraiment ce que vous cherchiez. Pour une belle soirée à peu de frais et en toute légalité, il valait mieux passer au club vidéo et louer un DVD !
Pour les jeunes adultes de l’époque, plusieurs jeux de console et d’ordinateur permettaient de passer le temps entre deux cours à l’université. On pense à Pokémon Rubis et Saphir pour la Game Boy Advanced, Mario Kart : Double Dash et La Légende de Zelda : The Wind Waker pour Gamecube. Sur PC, il était possible de jouer à Grand Theft Auto: Vice City, F1 Challenge et Call of Duty.
En ordre de lecture : Mario Kart : Double Dash, Final Fantasy : X-2 , The Legend of Zelda : The Wind Waker , Grand Theft Auto : Vice City.
Déjà 20 ans !
Les tendances, les nouveautés et les technologies se sont enchaînées à une vitesse fulgurante au cours des 20 dernières années. Évoluant encore plus rapidement que la performance des téléphones intelligents, Classe Affaires a toujours su rester à la fine pointe de l’innovation. Et proposer des solutions technologiques répondant parfaitement aux besoins d’affaires de nos clients, ça ne se démode pas !
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